La Ville rose à bicyclette grâce à Vélo Toulouse. Cycliste et chasseur immobilier à la fois... pour la bonne cause !

Très en vogue dans les grandes villes françaises où la circulation s’avère parfois - doux euphémisme - complexe, TOULOUSE n’échappe pas au succès du vélo en tant que moyen de déplacement urbain.

Désormais entré dans les mœurs, le « vélib Toulousain » s’affirme en effet toujours plus comme une autre manière de penser la ville, de la découvrir ou redécouvrir, d’y circuler plus aisément et avec célérité.

Que ce soit pour travailler (livraison, acheminement du courrier et colis, coursier en tous genres, etc.), se rendre au quotidien sur son lieu de travail ou bien se balader, flâner dans l’agglomération urbaine, tout en faisant un peu de « sport », d’activité physique si appréciable pour la santé, et en contribuant corrélativement à un air moins pollué, à la préservation - autant que possible - de l’environnement… ça roule pour VélÔToulouse !

On vous dit tout sur ce moyen de transport toulousain rapide, écologique et peu couteux pour le centre-ville et le péricentre… y compris ces quelques inconvénients puisque rien ne saurait être parfait.

C’est parti… et à bicyclette si le cœur vous en dit !

Avec 283 stations (qui proposent au total près de 5 000 points d’attache, donc la quasi assurance de trouver un vélo et de le garer sans difficulté à la fin de son trajet), TOULOUSE offre un maillage citadin important, une couverture dense de l’espace géographique urbain.

Borne station Vélô Toulouse - Toulouse à vélo

Station Vélô Toulouse, des Vélo pour tous

Pour preuve aussi le nombre de couloirs dans les rues et avenues réservés aux vélos, de pistes cyclables à la disposition des toulousaines et toulousains… en l’occurrence plus de 600 kilomètres d’infrastructures dédiés à la bicyclette sur le territoire de la métropole occitane (TOULOUSE et ses communes avoisinantes) dont environ 325 km d’aménagement roulants propres à la Ville rose.

Vélo prioritaire

A bicyclette... Toulouse en vélo

Que ce soit dans le cœur historique, le centre névralgique, au-delà des boulevards le ceinturant, dans les différents quartiers du péricentre d’Est en Ouest ou du Nord au Sud, sur les bords de Garonne, du Canal du Midi ou encore les différentes voies et zones vertes de l’agglomération toulousaine, la Cité des violettes fait la part belle à ce moyen de circulation (quand bien même pour les férus du vélo, les pratiquants au quotidien de la petite roue, des insuffisances existent encore).

VélÔToulouse, concrètement, comment ça marche ?

Disponible 24 H sur 24, tous les jours de la semaine, toute l’année sans discontinuité, les vélos proposés par « VélO Toulouse » permettent d'effectuer tous types de trajets dans la ville.

Peu importe la destination et la durée d’utilisation.

A VélOToulouse, Tom peut pédaler 24h/24 et 7j/7 !


Grace aux nombreuses stations (283 donc) implantées tous les 300 mètres environ dans le centre-ville, à la quantité de vélos proposés, qu’il s’agisse de se rendre sur son lieu de travail, d’honorer un rendez-vous professionnel, de retrouver des amis ou de la famille, de procéder à une petite course, de visiter la ville… l’accessibilité des vélos permet d’envisager tous les déplacements et à tous moments de la journée ou de la nuit.

283 stations Vélo Toulouse dans la Ville rose

Pour cela, il suffit de prendre un ticket aux bornes des stations, en ligne sur un ordinateur (par le biais du site internet dédié : https://abo-toulouse.cyclocity.fr/) ou via les applications smartphones ou Iphone après avoir téléchargé l’appli (disponible sur App Store et Google Play) et/ou de s’abonner en choisissant la formule la mieux adaptée à ses besoins.

Le tour est alors joué pour, comme le dit le slogan, être « Ecomobile » :

Vélo Toulouse

Vélo Toulouse - chasseur immo à vélo

Le vélo made in ville de Toulouse, combien ça coute ?

La municipalité de Toulouse propose plusieurs formules pour circuler à vélo avec à chaque fois un nombre de trajets illimités et les 30 premières minutes gratuites.

Pour une journée : le ticket dit « courte durée » au coût de 1 Euro 20 donnant accès à Vélo Toulouse durant 24 heures ; les 30 premières minutes étant donc offertes à chaque déplacement.

Pour une semaine : plus exactement sept journées consécutives, le ticket 7 jours au tarif de 5 Euros, synonyme d’une utilisation hebdomadaire de Vélo Toulouse avec la première demi-heure également offerte pour chaque trajet.

Ces deux formules se révélant être idéales pour les toulousaines et toulousains qui effectuent des déplacements occasionnels, pour les touristes qui visitent la ville ou encore ses futurs habitants soucieux de découvrir notre Cité quartier par quartier avant de louer ou acheter un appartement ou une maison.

Pour un mois : l’abonnement dit PASTEL au prix de 10 Euros ; cette carte de transport donne accès à Vélo Toulouse durant 30 ou 31 jours ; là aussi, les 30 premières minutes sont offertes à chaque trajet.

Pour une année : soit l’abonnement « VélÔToulouse 1 an » au coût de 25 Euros l’an, soit l’abonnement « VélÔToulouse 1 an PASTEL » au prix de 20 Euros annuel (impliquant d’être titulaire d’une carte de transport PASTEL), soit la souscription de la Carte montoulouse (ou montoulouse sénior) au tarif de 20 Euros par an également.

S’agissant de ces trois formules la première demi-heure d’utilisation du vélo est là encore gratuite.

Et pour les étudiants titulaires d’une carte étudiant MUT, la formule « VélÔToulouse 1 an Étudiant MUT » au même coût de 20 Euros annuel, et toujours la gratuité pour les trente premières minutes.

Enfin, fonctionnant dans le même esprit, il existe aussi un abonnement entreprise dont vous trouverez toutes les spécificités via le lien consacré aux abonnements cyclocity entreprises

Il est à noter que ces différents abonnements (à l’exception du classique « VélÔToulouse 1 an ») permettent de coupler le « Vélib » made in Toulouse avec les différents transports en communs de la ville que sont le métro, le tramway et le bus.

Ces formules abonnements, parfaitement adaptées aux résidants toulousains qui empruntent le vélo régulièrement, leur permettent ainsi, plus généralement, de profiter aisément de l’ensemble du réseau de transports de TOULOUSE Métropole.

Enfin, quelle que soit la formule ci-dessus retenue, au-delà de la première demi-heure d’utilisation un coût financier s’applique donc, ne serait-ce que pour l’entretien des vélos, le bon fonctionnement du service.

Ainsi, afin de connaître le temps de pratique écoulé et le cout à régler en résultant, un reçu est imprimable à la borne de la station où le vélo est garé à la fin du déplacement.

Et toujours dans un souci de commodité et de rapidité, le montant dudit tarif à acquitter est automatiquement débité sur le compte bancaire de l’utilisateur (ce caractère pratique implique donc le recours à une carte bancaire nécessaire en amont pour s’inscrire au système, s’abonner) sur la base de la grille tarifaire suivante :

Grille tarifaire Vélo Toulouse

In fine, ne serait-ce qu’en raison d’un fonctionnement simple, qui plus est combiné à un coût financier minime, le recours éventuel au dispositif Vélo Toulouse se pose… et pour certains s’imposent même, y voyant bien d’autres avantages.

Les divers avantages du Vélo Toulousain.

La simplicité de la prestation proposée par la ville n’a d’égale que la facilité même de la pratique du vélo sur laquelle il n’est guère besoin de disserter alors que le caractère attractif des prix pratiqués sus-évoqué est d’autant plus avantageux qu’il évite aux usagers du système l’achat d’un vélo (et d’un anti-vol), son entretien (graissage - chaine, pignons -, rayons, pneus à gonfler, etc.), ses réparations (en cas de pépins de type crevaison, fonctionnement défectueux des freins, du pédalier, etc. ou simplement lié à l’usure du temps), le risque d’un vol (malheureusement fréquent en la matière), etc., bref permet au final des économies substantielles… pour les personnes, bien sûr, qui optent pour le vélo.

Mais à ce double avantage s’en greffent a minima deux autres : un à portée individuelle, aisément quantifiable et l’autre de dimension collective, politique.

Un gain de temps assuré.

En secteur urbain, sur des courtes ou plus ou moins courtes distances, le vélo s’avère être le moyen de transport le plus efficient, entendu sous l’angle de la rapidité et de la ponctualité.

Permettant d’éviter au cycliste les aléas d’un embouteillage, de livraisons bloquantes et de tous les autres aléas circulatoires fréquents de la ville (en particulier aux heures de pointes), celui-ci conserve toujours une vitesse moyenne identique (à l’inverse du conducteur d’un véhicule) et de facto maitrise parfaitement son emploi du temps.

Cela s’avère d’autant plus vrai qu’outre la circulation proprement dite (parfois anxiogène, stressante, pour l’automobiliste craignant un retard lié à des bouchons qu’il ne peut prévoir, quantifier), le temps perdu (en voiture) ou gagné (à bicyclette) se mesure aussi à l’aune du temps passé à se garer, à repérer une place de stationnement.

A ce titre, s’agissant de porte à porte, le vélo s’avère - toujours sur des distances urbaines raisonnables - imbattable.

Avec VélO Toulouse, le nombre de stations proposées étant particulièrement significatif et celles-ci implantées à tous les coins (ou presque !) de la ville, trouver un vélo puis le garer se révèlent être un jeu d’enfant pour son utilisateur qui maitrise ainsi parfaitement le temps nécessaire pour se rendre d’un point à un autre de Toulouse et cela quelle que soit la vitesse habituelle à laquelle il roule.

A cet égard, étant entendu que la vitesse maximale dans l’hyper centre-ville est et/ou sera de plus en plus limitée à 30 Km/h… mais que celle-ci s’avère purement théorique, impossible à tenir (contrairement à un trajet sur route, voire plutôt sur autoroute, et/ou sur une longue distance il est envisageable d’atteindre un certain rythme moyen, de « croisière »), ne serait-ce qu’en raison des feux rouges et autres ralentissement imposés par le code de la route (et donc sans prendre en compte les encombrements urbains aléatoires précités), quand bien même de son domicile à son lieu de travail ou de celui-ci à un autre rendez-vous professionnel l’automobiliste à la garantie de pourvoir garer sa voiture (dans un parking dédié ou un parking public à proximité immédiate), le temps passé dans un véhicule n’est que peu maitrisable… et in fine sera plus long qu’en vélo.

Différents exemples ci-dessous répertoriés - et l’inventaire aurait pu se décliner quasi à l’infini - illustrent parfaitement cette réalité :

De la place du Capitole à la gare TOULOUSE Matabiau :



Mais en outre (au-delà donc des 8 minutes gagnées en vélo s’agissant de ce trajet) en voiture, il faut pouvoir se garer en arrivant à destination, trouver une place pour son automobile…

Or cela n’est pas une mince affaire dans le centre de l’agglomération toulousaine de plus en plus pensé pour les piétons et les… vélos, où par conséquent les places de stationnements se font rares, quand ce n’est pas rarissime dans des rues semi-piétonnes et/ou des boulevards ou avenues faisant la part belle aux bus et pistes cyclables en ayant rogné, fait disparaitre les places dévolues jusqu’alors aux voitures.

Garer son véhicule implique donc souvent de chercher, tourner et retourner dans les rues du quartiers d’arrivée pour, finalement, stationner assez loin de l’adresse exacte souhaitée, et en ayant dû également au préalable acquitter son stationnement dans un horodateur (process lui aussi nécessitant du temps… et couteux) ou bien se rendre dans un parking public ; lequel n’est pas forcément proche (s’il y en a un) du lieu de rendez-vous, nécessite lui aussi l’écoulement d’un temps certain avant d’être réellement opérationnel, en marche vers l’endroit précis envisagé.

Le temps imparti, en pure perte, pour répondre aux exigences précitées dans cet exemple - constat valant du reste logiquement pour la majorité de ceux qui suivent ou de ceux, innombrables, que l’on aurait pu retenir dans le centre-ville de TOULOUSE - n’est bien sûr pas mentionné par l’application Google Maps ici utilisée.

Sachant qui plus est que les temps indiqués/mesurés ici par cette appli le sont aussi sous réserve d’absence de problème de circulation, d’un trafic automobile « normal », fluide, sans ralentissements, embouteillages, etc.

C’est dire combien, en termes de temps, le comparatif véhicule/vélo est favorable au second…

De la place du Capitole à la Préfecture :

De la place du Capitole à la place intérieure de Saint-Cyprien, sur la rive gauche de la Garonne :

 

De la place du Capitole au Palais de Justice, situé place du Salin et allées Jules Guesde :

 

De la place du Capitole à la Médiathèque de l’autre côté du Canal du Midi :


De la place du Capitole au Jardin des Plantes :



De la place du Capitole au Stade Ernest-Wallon dans le quartier des Sept Deniers :

 
Et

De la place du Capitole à l’Ile du Ramier pour se rendre à la piscine Nakache ou au Stadium de Toulouse :


Dans ces deux derniers cas de figure où la distance entre le point de départ et d’arrivé est un peu plus long qu’avec les autres exemples caractéristiques de l’hyper centre-ville, la voiture apparait - de peu - légèrement plus rapide.

Reste que cela s’avère en fait théorique car c’est ici - comme dans la très grande majorité des quartiers de la ville - sans compter les problèmes récurrents de bouchons, de ralentissements classiques… surtout en début de matinée et fin de journée, en l’occurrence les moments concernés au premier chef par les déplacements urbains quotidiens objet de ce billet (et, de fait, à la stratégie optimale de circulation à adopter en conséquence).

Par ailleurs, même en considérant un moment de la journée potentiellement - en principe - plus calme au niveau de la circulation routière (mais qui ne correspond pas aux obligations professionnelles d’arrivée et de départ de son lieu de travail…), en combinant, selon les destinations, le vélo au métro, au tramway ou au bus (Tisséo le permet pour un même tarif : voir supra) le couple deux-roues (à pédales !)/transport en commun l’emportera le plus souvent - pour du porte-à-porte - sur l’automobile.

Sous l’angle du temps à consacrer à ses déplacements (professionnels ou autres), à l’organisation de son emploi du temps journalier et hebdomadaire, l’intérêt de recourir au vélo en lieu et place de la voiture relève donc de l’évidence.

Un chasseur immobilier sachant chasser… à vélo, cibler rapidement maison ou appartement… grâce à VéloToulouse quand il le faut !

Comme beaucoup d’acteurs économiques toulousains, nous n’avons pu ainsi que faire notre cette évidence dans notre activité quotidienne de chasseur immobilier, d’exploration du marché, de rendez-vous pour des visites d’appartements et de maisons, de rencontre pour nos clients avec différents partenaires et/ou interlocuteurs (agences immobilières, architectes et artisans du bâtiment, diagnostiqueurs, courtiers, etc.), de réunions entre membre de notre équipe de chasseurs immobiliers, de signatures de promesses de vente ou d’actes de vente chez des notaires toulousains, etc.

Une utilité de « Vélo Toulouse » avérée ne serait-ce donc qu’à ce titre de gain de temps, c’est-à-dire de diligence et de réactivité au cœur de notre prestation immobilière, d’un service immobilier où l’efficacité se mesure, entre autres, en termes de rapidité, implique celle-ci, une grande disponibilité rimant parfois avec immédiateté.

Au-delà de cet atout pratico-pratique, la bicyclette - et donc Vélo Toulouse - recèle d’autres vertus.

Une contribution à la préservation de l’environnement…

Parce que la qualité de l’air est un enjeu majeur de santé publique, à l’image des plus grandes agglomérations françaises, TOULOUSE Métropole - avec l'État en surplomb et la plupart des acteurs locaux à ses côtés - s’efforce d’améliorer la qualité de l’air dans le cadre du volet Air de son Plan Climat Air Énergie Territorial (PCAET).

Point nodal de toute politique en faveur de la transition énergétique et écologique, c’est là une préoccupation et un chantier colossal nécessitant une planification au long cours que l’on retrouve, entre autres, dans son Plan Local d’Urbanisme intercommunal (PLUi-H) et qui se traduit aussi, par exemple, par la place de choix occupée par ATMO Occitanie (Association Agréée pour la Surveillance de la Qualité de l’Air) qui vérifie sans discontinuer la qualité de l’air sur le territoire de l’agglomération.

Et parmi les solutions retenues, outre l’interdiction depuis le 1er de mars 2022 de circuler en ZFE - Zone à Faibles Émissions qui englobe toute la ville de TOULOUSE à l’intérieur de la rocade, ainsi qu’une petite portion de COLOMIERS et de TOURNEFEUILLE, soit un périmètre de 72 km² - pour les véhicules les plus polluants, figure le vélo au cœur du peloton (pour filer la métaphore cycliste).

ZFE Toulouse

Préconisé quand il n’est pas de lui-même prisé (réalité mondiale - illustrée par le célèbre exemple chinois - ou européenne, tout particulièrement au Danemark, en Allemagne et aux Pays-Bas), ce moyen de locomotion s’inscrit désormais inexorablement dans le paysage urbain français.

Outre son coût bien moindre à l’achat, à la location et au fonctionnement/énergie nécessaire en comparaison de ce qu’exige un véhicule motorisé, outre ses avantages susmentionnés en termes de gain de temps et de ponctualité, d’optimisation d’une journée de travail en milieu très urbanisé, de forte densité de population, l’engouement pour la bicyclette répond à la nécessité de préserver au mieux le cadre de vie environnemental, d’éviter autant que faire se peut la pollution atmosphérique et, ce faisant, de se prémunir contre diverses maladies (respiratoires entres autres), d’améliorer son capital santé.

Ne rejetant ni gaz à effet de serre, ni particules fines, ni émanations toxiques, le cyclisme - qui par ailleurs n’induit aucune nuisances sonores… elles-mêmes toxiques, a minima stressantes, pour l’organisme humain -, "tête de gondole" des mobilités douces prônées par les élus de tous bords, ne peut que s’affirmer comme une solution de choix (pour ne la dire La solution) pour des déplacements idoines… puisque non polluants, et même au-delà car il se mue, apparait même comme un outil de protection du corps social entier à travers le renforcement vital de chaque corps humain (illustration contemporaine - et si concrète - des travaux de Michel FOUCAULT sur le biopouvoir qui outrepasse bien sûr largement le cadre - non… pas du vélo ! - de ce petit article… ; aussi, pour les lectrices et lecteurs qui, entre deux courses, prendraient la roue des stimulants travaux du philosophe français sur la biopolitique, voici, parmi d’autres, trois pistes principales de lectures - moins rectiligne qu’une piste cyclable, parsemées de cols à franchir classés hors catégories, impliquant un réel changement de braquet…- : « La Volonté de savoir »  paru en 1976 aux Editions Gallimard et ses cours au Collège de France du milieu et de la fin des années 70 : « Il faut défendre la société » et « Naissance de la biopolitique » parus aux Editions Gallimard/Seuil respectivement en 1997 et 2004).

… et à la santé de chaque cycliste, membre actif du corps social.

A TOULOUSE comme ailleurs, les pouvoirs publics se montrant toujours plus attentifs, soucieux à ce qui peut améliorer la santé publique, tout est mis en œuvre pour mettre en avant les bénéfices du vélo, inciter à son utilisation, faciliter sa pratique pour le plus grand nombre.

A l’aspect environnemental sociétal global, de préservation générale de l’air et de facto de la santé de tous, s’adjoint une dimension personnelle directe, un souci de soi (autre thématique foucaldienne s’il en est… in, notamment, « Le souci de soi » ; même période d’étude, mais ouvrage paru en 1994 - Editions Gallimard).

Sur l’axe médical en effet, les enjeux collectifs et les intérêts individuels se recoupent autour de l’utilisation du vélo (que ce soit bien sûr par le bais de Vélo Toulouse ou via un vélo personnel) : le fait d’avoir une activité physique régulière.

La communauté scientifique se veut unanime en la matière.

Aussi minime soit-elle, une pratique « sportive », une dépense d’énergie quotidienne, s’avère particulièrement bénéfique pour la santé nous dit le corps (toujours lui…) médical, et cela quel que soit son âge et son sexe : les bénéfices en termes de force musculaire, de circulation sanguine, de rythme cardiaque, de souplesse, d’équilibre physiologique et mental sont, pour tout un chacun, largement reconnus, donc énoncés, plébiscités.

A VélOToulouse, Lou se sent en pleine forme… !



En la matière, la marche à pied serait du reste idéale, mais elle nécessite d’avoir du temps devant soi… ce qui n’est pas forcément compatible avec une vie professionnelle et familiale dense, d’où la nécessité de ne pas en perdre (à défaut d’en gagner) dans nos trajets citadins quotidiens tout en recourant à une pratique permettant de concilier l’utile… à l’utile (et l’agréable aussi pour ceux qui aiment vraiment le vélo, la sensation de liberté qu’il procure au-delà de tous les avantages précités).

Sur cet axe médical préventif, notons d’ailleurs que la ville de TOULOUSE favorise aussi l’essor du vélo dans sa version « privée » via l’octroi, sous conditions de ressources, d’une prime visant à renouveler, moderniser le parc toulousain de bicyclettes et, ce faisant, d’en développer la pratique, d’encourager le plus grand nombre à y souscrire.

Dépassant notre approche liée au système VélôToulouse, sur cette « Prime vélo » toulousaine d’aide à la mobilité durable, visant à l’achat ou à la location longue durée d’une bicyclette (classique ou pliable, neuve ou d’occasion, électrique ou non, triporteur ou non, etc.), qui concerne les particuliers résidents sur l’une des 37 communes de TOULOUSE Métropole et dont le revenu fiscal est en-dessous du seuil de 35 052 € par part, ainsi que les entreprises ou associations - de moins de 250 salariés - domiciliées et ayant leur activité sur l’une des mêmes 37 communes, nous vous invitons pour les modalités pratiques à contacter la Direction Environnement Énergie « Prime Vélos » de Toulouse Métropole, 6 rue René-Leduc, 31500 TOULOUSE.

Quelques inconvénients à rouler à Vélo… qu’il soit estampillé TOULOUSE ou pas.

C’est un fait, non protégé - ou très peu grâce à quelques rares vêtements de protection adaptés -, avec une météo défavorable la pratique du vélo s’avère peu agréable.

Un temps très venteux, la pluie - à titre principal - ou de fortes chaleurs peuvent en effet rendre délicate l’utilisation du vélo.

Reste que sur d’assez courtes distances - qui caractérisent la majorité des déplacements urbains via VélÔToulouse - ces écueils restent tout à fait surmontables.

Par ailleurs, la solution du vélo électrique (qui au demeurant se développe grandement) s’avère alors une alternative… plus couteuse et privée, mais permettant néanmoins de toujours opter pour le deux-roues comme moyen de locomotion urbain, voire péri-urbain, en permettant d’envisager des trajets plus longs… sans les désagréments de fatigues musculaires éventuelles et de transpiration (souvent inévitable et difficile à gérer pour les déplacements domiciles/lieu de travail un peu lointain et/ou par temps chaud) par exemple.

Les autres inconvénients, plus réels, sont bien connus et dans ces cas de figures le vélo - qu’il soit mis à disposition par la ville de TOULOUSE ou personnel - ne peut être retenu comme moyen de déplacement, ou bien à la marge dans certaines hypothèses.

Il en va ainsi notamment pour :

-    les personnes ayant des problèmes de santé ou des handicaps incompatibles avec un deux roues non motorisé,

-    les citadins devant transporter des objets lourds ou volumineux dans le cadre de leur activité professionnelle, de leur trajet maison/appartement lieu de travail (le triporteur pour la livraison de colis ou de produits divers et variés s’affirme toutefois ici comme une réponse de plus en plus adaptée - mais choisie alors par les entreprises, commerces, sociétés, etc. plus que les particuliers directement - tant la circulation en ville, les arrêts fréquents nécessaires, sont ainsi facilités),

-    les familles nombreuses, les parents devant accompagner leurs enfants à l’école par exemple (et encore, les plus petits enfourchent parfois une monture !)…

Pour tous les ages - de 7 à 77 ans

Pour tous les âges... Toulouse en vélo

...même si le vélo cargo ou le triporteur là encore se révèlent être, pour ces dernières, une alternative (mais couteuse) qui connait un succès grandissant, à l’instar des modèles de vie scandinaves et, plus généralement, du nord de l’Europe : Norvège, Suède, Finlande, Danemark, Hollande, Belgique et Allemagne en particulier.

Vélo trois places

Vélo trois places - vélo famille

Vélo cargo - vélo familial

Au bout du compte, la balance entre avantages et inconvénients penche très largement du côté de la pratique du Vélo…

Aussi, à défaut d’être aussi cyclable que certaines villes européennes où la culture du vélo est bien plus ancienne, la ville Rose avec son système VélÔToulouse s’affirme de plus en plus comme une excellente élève.

Le bénéfice en revenant au quotidien aux utilisateurs - toujours plus nombreux, évitant les inconvénients d’un trafic très/trop dense - et à l’ensemble des toulousaines et toulousains qui respirent mieux, moins mal en toute hypothèse… au centre-ville où les cyclistes tendent progressivement à remplacer les automobilistes.
Le slogan semble se vérifier… « Ensemble, on en a dans les guiboles ! ».

Ensemble, on en a dans les guiboles - Vélo Toulouse

Vous hésitez encore… Pourquoi faire l’économie d’un test ?

Essayer VéloToulouse… c’est pour beaucoup l’adopter. Et rien de plus simple… un peu comme faire du vélo !

Efficacité oblige, vous croiserez peut-être un chasseur immobilier ou une chasseuse immobilière de Domicilium cherchant un logement pour un de ses clients, se rendant à un rendez-vous pour une visite d’appartement ou de maison, à une réunion de travail ou de formation de notre team de chasseurs ou bien encore - quel plaisir de concrétiser des projets immobiliers, de faire des heureux - à une signature de promesse ou d’acte de vente chez un notaire toulousain… dans tous les cas le sourire aux lèvres.

On raconte - légende urbaine… ? - que même parmi les habitants de la capitale occitane les plus hésitants (voire récalcitrants au départ) il arrive que, finalement, ceux qui enfourchent un vélo made in TOULOUSE se mettent parfois à fredonner Yves MONTAND :

« Quand on partait de bon matin
Quand on partait sur les chemins
À bicyclette…
»
E. MASSAT - Chasseur Immobilier Domicilium

Publié le jeudi 01 juin 2023