Prix du marché immobilier à TOULOUSE. Bilan de l’année 2024 à l’aune d’exemples concrets de transactions immobilières réalisées par DOMICILIUM.
L’année immobilière 2024 a connu des soubresauts. Certains étaient prévisibles, d’autres moins.
Nous proposons ici un retour en arrière permettant, à l’appui d’exemples concrets, de transactions effectives réalisées par notre Cabinet de chasse immobilière, d’appréhender cette période de turbulence et, ce faisant, penser l’avenir avec raison… et optimisme !
L’immobilier toulousain en 2024… anatomie d’une chute ?
Le marché immobilier toulousain au cours des douze derniers mois n’a guère été florissant.
C’est un euphémisme que de le dire, ce serait une contre-vérité de soutenir le contraire.
Pour autant une réflexion empirique, avec le recul et l’expérience nécessaires, permet de nuancer ce constat alarmiste.
Certes :
- La prudence a été de mise : report de mise en vente pour les propriétaires non obligés de céder leur bien, attendant pour cela des jours meilleurs ; espoir d’une baisse du prix au m2 pour les acquéreurs, d’un rapport de force inversé entre eux et les vendeurs.
- L’attentisme a existé : périodes électorales prévue oblige avec les élections européennes de juin, qui plus est cette année doublée d’élections législatives inattendues, suite à la dissolution de l’Assemblée Nationale, et avec elle un climat d’indécision : quel gouvernement pour mener quelle politique ? Interrogations, attentes… que ce soit en matière de logement, d’habitat, mais plus globalement des craintes générales sur un plan économique, fiscal, social et environnemental. Au final, de mai à début septembre, l’immobilier aura quasiment été mis entre parenthèse.
- Les esprits ont parfois aussi été détournés - un temps au moins - de leurs potentiels projets immobiliers car tournés vers plus de légèreté : aux habituels Roland-Garros et Tour de France - qui certes ne modifient pas la donne en termes de marché immobilier - se sera en revanche greffé cette année l’Euro de foot et, surtout, les Jeux Olympiques : événement mondial organisé sur le territoire national.
- L’inquiétude provenant de l’échelon international a perduré avec des répercussions économiques et sociétales, des tensions, sur le sol français : guerre en Europe qui s’enlise (la Russie essayant toujours de détruire le régime ukrainien), source de menaces conflictuelles géographiquement plus amples, d’instabilité politique et d’inflation généralisé des prix (le bâtiment n’y échappant pas), conflits incessants au Proche et Moyen-Orient en particulier entre l’Etat d’Israël et le peuple Palestinien (la région s’embrassant de plus en plus avec le Liban et l’Iran au cœur des événements, en particulier à partir d’octobre), élections américaines et nouveau mandat de Donald TRUMP porteur d’incertitudes (préconisant, entre autres, l’augmentation des droits de douane de 10 % à 20 % sur toutes les importations), etc.
- Les taux bancaires n’ont pas retrouvé leur seuil historiquement bas : ils se sont stabilisés, mais demeurant plus hauts que dans un passé encore assez récent. Bien que celui-ci soit révolu tant il était anachronique, les acquéreurs n’ont pas forcément toujours entériné cette réalité et, en toute hypothèse, les taux d’emprunts pratiqués sur l’année écoulée ont participé de l’apathie du marché.
- Les politiques environnementales d’amélioration de l’habitat ont quelques fois été perçues comme trop difficiles à mettre en œuvre, plus un frein « punitif » qu’un vecteur d’amélioration du parc immobilier, tout au moins de solutions pratiques pour se loger, remédier à la pénurie de logements en zones tendues.
- La frilosité fut au rendez-vous : toute visée immobilière, toute intention de vente ou d’achat d’un bien, s’inscrit sur un temps long, nécessitant structurellement de la stabilité à la fois politique et économique. Or, nous l’avons vu, ni l’un ni l’autre n’ont marqué la période : élection et inflation ont au contraire poussé les particuliers à attendre, à repousser (quand c’était possible) leur projet.
Pour autant le marché de l’immobilier toulousain et de ses environs immédiats ne s’est pas effondré, notamment en termes de prix pratiqués, ni même n’a pas été paralysé ou gelé.
Les mutations ont été bien moins nombreuses (surtout dans le neuf où, là, la crise n’aura pas été un vain mot pour les aménageurs fonciers, promoteurs ou lotisseurs), mais elles ont toutefois existé et à des prix ayant des similitudes certaines avec ceux des périodes plus actives précédant la crise sanitaire ou la suivant immédiatement après.
De multiples facteurs l’expliquent.
TOULOUSE étant un bassin d’emplois, le dynamisme industriel de l’agglomération génère inévitablement des transactions, ne serait-ce qu’en raison d’arrivées de nouveaux habitants toujours plus importantes que les départs.
L’attractivité de la Ville rose, avec quelques pôles d’excellence (recherche fondamentale et médicale entre autres), un tissu aéronautique parmi les plus performant de la planète, un environnement et déploiement universitaire réputé en Europe, booste le secteur immobilier, a minima le maintient toujours à flot.
Chercher un appartement ou une maison à TOULOUSE : une nécessité inaltérée.
La recherche de logement y est inévitable pour l’achat de résidence principale, ou une location (ne serait-ce qu’à titre transitoire).
Les investisseurs, corrélativement, ne s’y trompent pas.
Affectionnant particulièrement la Cité des violettes, ils s’efforcent d’y dégoter des produits qualitatifs source de revenus complémentaires assurés, choisissent cette zone géographique pour des placements rentables et sécures dans le temps.
La certitude de louer les appartements acquis (
et de les revendre sans difficulté si besoin) tout comme, plus généralement, la perception toujours avérée de voir dans la pierre une valeur refuge, un investissement à la fois pérenne et un minimum attractif - quels que soient les aléas conjoncturels traversés… contrairement à un placement boursier risqué ou une assurance vie qui ne rapporte pas - les ont donc incité à se projeter.
C’est globalement du reste, dans un contexte de croissance mondiale aux alentours de 2,6 % en 2024 enregistré par la Banque mondiale, soit un niveau bien en deçà des 3,1 % en moyenne de la décennie pré-COVID 19, que les investisseurs (
institutionnels ou particuliers) ont eu tendance à se détourner des actifs risqués que sont les actifs financiers et à (re)penser à la pierre comme une alternative intéressante en soi, plus que comme un choix de diversification de leurs placements.
Nous avions eu l’occasion de mettre en évidence dans le détail ces différents arguments il y a un peu plus d’une année dans notre billet : «
Le marché immobilier toulousain de mai à octobre 2023 : un ralentissement du volume des transactions, mais pas (encore) des prix dans les secteurs (toujours) convoités ».
Ils ont été confirmés depuis.
Le caractère atone du marché est une réalité, sa mort une vue de l’esprit.
2024 n’a pas connu le krach immobilier que certains analystes ou éditorialistes prédisaient… il est vrai peut-être plus en recherche du buzz médiatique (
l’information étant aussi devenue un marché où il faut vendre, se montrer plus que démontrer) que d’études approfondies où la nuance n’est pas commercialement porteuse.
Si le ralentissement de l’activité immobilière a été factuel, son arrêt n’aura été qu’un mirage.
Cela d’autant plus que la stabilisation des taux bancaires sus-évoquée a été doublée d’une politique des banques moins frileuse, permettant de fait à un volant d’acquéreurs exclu du marché en 2023 et en tout début d’année 2024 (
les primo-accédants en particulier) d’envisager de nouveau un projet immobilier, et depuis de le concrétiser pour certains.
Par ailleurs, sur le plan des règles imposées pour des bâtiments moins énergivores, le mode de calcul du diagnostic de performance énergétique (DPE) a été assouplie pour les surfaces de moins de 40m2 à compter du 1er juillet 2024 (
« Arrêté du 25 mars 2024 modifiant les seuils des étiquettes du diagnostic de performance énergétique pour les logements de petites surfaces et actualisant les tarifs annuels de l'énergie », JORF n°0093 du 20 avril 2024).
De facto, certaines petites surfaces sont sorties de la catégorie des « passoires énergétiques » (
ou n’y entreront pas) qui les rendaient invendables ; le marché n’en était jusque-là que plus tendu puisque cette politique énergétique (
ambitieuse, mais peut-être prescrite trop abruptement) restreignait l’offre déjà excessivement faible et/ou faisait reculer des investisseurs potentiels… mais hésitants sur ce point quant au risque d’acquérir un bien.
Enfin, bien que schématique et, ce faisant, quelque peu simplificatrice, la règle des cinq D ne doit jamais être négligée, surtout dans une agglomération d’envergure.
La règle immobilière des 5 D.
Divorce, Décès, Déménagement, Descendance et Dettes y jouent à plein, expliquant et/ou corroborant les analyses précitées aux termes desquelles le marché immobilier Toulousain a « forcément » fonctionné en 2024, quand bien même fut-ce modérément, trop modérément.
Comme ailleurs, mais peut-être plus encore dans la 4ième ville de France qui a passé le cap des 500 000 habitants cette année et en comptabilise plus de 806 000 en prenant en considération les 37 communes voisines constituant TOULOUSE Métropole :
- les divorces ou séparations, statistiquement plus nombreux en zone urbaine densifiée, impliquent de se reloger,
- les décès génèrent eux, très souvent, des ventes dans le cadre de succession ou l’envie de quitter un lieu devenu douloureux,
- les descendances se déclinent en naissances synonymes de besoin d’espace à vivre plus grand ou, à l’inverse, d’enfants devenant autonomes désireux de quitter le foyer… à l’origine pour eux d’une recherche de studio (par exemple) et pour leurs parents d’un changement d’appartement ou de maison animés par la volonté de réduire leur train de vie,
- les déménagements y sont donc logiquement aussi inéluctables que significatifs (amplifié bien sûr par les mutations professionnelles qu’offrent un secteur géographique toulousain quasi structurellement pourvoyeur d’emplois)… et dans tous les cas se révèlent être un moteur naturel du marché de la transaction immobilière (si ce thème vous concerne, vous pouvez vous reporter à notre billet : « Déménager, c’est avant tout s’organiser. Nos astuces et conseils pratiques pour un déménagement serein ! »).
- les dettes enfin sont toujours, elles aussi, à l’origine de ventes (et donc d’acquisitions) ; or elles s’avèrent malheureusement encore plus prégnantes dans les périodes contingentes précédemment décrites, a fortiori dans des zones où les prix de l’immobilier demeurent très/trop hauts, grevant excessivement le pouvoir d’achat des ménages, les fragilisant parfois dangereusement.
Ce faisceau d’éléments explique qu’en 2024
Domicilium a, comme les années précédentes depuis 2007, continué à conseiller nombre d’acquéreurs aux profils variés, leur a déniché le bien immobilier escompté.
Et le fait que nous soyons sollicités en cette fin d’année à un rythme correspondant - à saisonnalité égale - peu ou prou aux crus précédents, que des clients nous mandatent pour leur trouver un logement (toute typologie de bien immobilier), laisse présager que 2025 confortera probablement l’analyse qui précède (nous y reviendrons dans quelques mois pour évaluer dans quelle mesure un rebond du marché a eu lieu et dans l’affirmative à quel niveau, à quel degré).
Illustrant les propos théoriques précités, les ancrant dans le réel afin d’appréhender celui-ci avec le plus de justesse possible, voici une série de transactions réalisées par notre équipe de chasseurs immobiliers sur cette période.
Quelques illustrations de transactions immobilières au profit de notre clientèle en 2024.
Qu’il s’agisse de se projeter sur une résidence principale (
appartement ou maison), sur un produit d’investissement (
le plus souvent un T1 ou un T2, parfois d’un immeuble en pleine propriété), un local professionnel ou tout autre bien en copropriété ou hors copropriété, des acquéreurs sont venus vers nous, et continuent de le faire, soucieux de conseils, de diligences, d’efficacité, d’opportunité parfois impossible à trouver sans le biais d’un spécialiste de la recherche immobilière (
voir à ce sujet notre étude : « Le off-market immobilier : mythe ou réalité ? Fantasme ou opportunité ? ») et de sécurité.
Certains souhaitaient acquérir un bien dans TOULOUSE intra-muros, d’autres en périphérie immédiate, d’autres encore dans des communes avoisinantes.
Achat de biens dans TOULOUSE à usage autre que d’habitation : locaux professionnels et places de stationnement
Implanté
rue Paul Gauguin dans le
quartier Bellefontaine de Toulouse (
station de métro Bellefontaine - Ligne A - à environ 6mn à pied), local professionnel à usage de
bureaux de 93m2 bénéficiant des avantages de la
Zone Franche Urbaine (ZFU).
Composé d’une entrée/accueil/secrétariat et de 4 bureaux avec placards, cet espace climatisé, nécessitant un petit budget rafraichissement d’environ 15 000 Euros, au 2ième étage sur 3 avec ascenseur d’un
immeuble Tertiaire moderne de 2008 aux
normes PMR, bénéficiant de
deux places de parking couvertes a été acquis
85 000 Euros (
hors frais de notaire), soit environ 1075 Euros le m2 en prenant en compte l’enveloppe travaux sus-évoquée.
Produit d’investissement offrant une rentabilité supérieure à 8% net.
Situé
rue Zacharie dans le
quartier des Chalets, en sous-sol accessible par une entrée sécurisée (
portail avec bip),
emplacement de parking numérotée, facilement accessible, permettant d’accueil une berline ou un SUV.
Ce lot de copropriété, permettant de donner une plus-value aux murs d’un local à usage professionnel ou commercial acheté quelques années auparavant à proximité immédiate, a été acquis
25 000 Euros (
hors frais de notaires).
Achat d’appartements dans la Ville rose
Localisé dans le
quartier Patte d’Oie, au début de l’avenue de Lombez au niveau du
boulevard Gabriel Koenigs (
station de Métro Patte d’Oie - Ligne A - à environ 4/5mn à pied, ligne de Tramway station Arènes à environ 3mn à pied, ligne de bus n°14 juste en sortant de la copropriété),
appartement T3/4 de 99m2 doté de deux
balcons, deux
celliers et une
place de parking couverte.
Au 3ième étage avec
ascenseur, ce logement familial (
ou à aménager pour un investisseur en vue de faire de la collocation), dans une copropriété de 1971 entretenue, nécessitait environ 80 000 Euros de
travaux pour une modernisation complète : peintures murales, cuisine et salles de bains à refaire, huisseries d’époque à remplacer, électricité à mettre aux normes, etc.
Cet ensemble immobilier a été négocié
220 000 Euros (
auxquels s’ajoutent les frais notariés ; notion entendue ici au sens large communément admis ; notre étude « Les « frais de notaire » : un abus de langage, mais une lourde réalité économique - à anticiper - lors d’un achat immobilier » permet d’en cerner avec exactitude les contours et enjeux principaux), soit environ 2222 Euros le m2 (
3030 Euros environ du m2 après travaux).
Situé
rue de l’Industrie dans le
quartier vivant de
Saint-Aubin, côté boulevard Carnot,
appartement T1 de 24m2 environ.
Au 2ième étage sur 2 d’un immeuble toulousain typique des années 1920-1930, il fait partie d’une petite copropriété ancienne bien entretenue.
Exposé Est, en bon état général (
simple petit rafraichissement à prévoir), bénéficiant d’un
DPE en D, cet appartement idéal pour un
investissement locatif, a été acheté
120 000 Euros (
hors les frais notariés), c’est-à-dire 5000 Euros le m2.
Le critère du prix au m2 n’est pas, loin s’en faut, la règle d’or, LE moyen pour connaitre la valeur intrinsèque d’un bien immobilier (
nous avons eu l’occasion de l’expliquer à plusieurs reprises, notamment dans notre billet : « Acheter un appartement ou une maison à Toulouse, une valeur sure… mais à quel prix au m2 ? »). Raison pour laquelle, nous ne faisons référence à ce prix dans les différents cas retenus ci-après qu’à titre de simple information transverse très générale.
Localisé
rue Paul Verlaine, dans le
quartier La Vache (
relativement excentré, mais bénéficiant de la ligne B du métro à proximité immédiate : station à 100 mètres environ),
appartement T2 de 38,78m2 doté d’une petite
terrasse de 9m2, prolongé par un petit
jardin ; l’appartement se trouvant en rez-de-chaussée.
Dans une copropriété construite en 2004, entretenue, ce bien est complété par une place de
parking en sous-sol.
Classé en D au niveau du DPE, nécessitant quelques petits travaux de rafraichissement (
peinture murale), ce bien a été négocié
110 000 Euros, auxquels s’ajoutent les fais dits de notaire, soit environ 2600 Euros le m2 en pondérant les surfaces extérieures.
Positionné
avenue de la Colonne, dans le charmant
quartier Marengo, appartement
T2 de 25,10m2 en loi carrez et 27,12m2 au sol auxquels s’ajoutent une petite sortie extérieure intime.
Situé au rez-de-chaussée d'une agréable
chartreuse, au calme et sécurisée, ce joli et fonctionnel appartement, en très bon état, a été acquis
148 700 Euros (
hors frais de notaires), soit 5710 Euros le m2 une fois la surface hors carrez pondérée.
Situé
rue Jacob Insel dans le
quartier des Ponts Jumeaux, en retrait du boulevard de Suisse,
appartement de type T3 de 68,66m2 avec un petit
balcon d’environ 3m2 dans le prolongement du séjour, au deuxième étage sur quatre.
Logement en bon état général - tout comme la résidence, construite à la fin des années 90 - auquel est associé une place de
parking en sous-sol, sécurisée.
Cet ensemble immobilier a été acheté
228 000 Euros (
hors frais de notaire), soit environ 3280 Euros le m2 une fois pondérée la surface extérieure.
Situé
rue Dupont (
voie très calme du résidentiel quartier Guilhemery), à proximité de la médiathèque,
appartement T3 de 72,30m2 doté d’une agréable
terrasse de 9m2, en 2ième étage d’une très petite copropriété de la fin des années 60 parfaitement entretenue.
Entièrement refait en 2020 (
isolation, climatisation, pièces d’eau, peintures, etc. ; aucuns travaux à prévoir), bénéficiant d’un
cellier et d’une place de
parking couverte sécurisée, ainsi qu’un d’un
local vélo, ce logement a été acheté
360 000 Euros (
hors frais notariés), soit environ 4570 Euros le m2 en pondérant la surface extérieure.
Situé
rue Gilles de Goislard de Monsabert dans le
quartier Bourrassol, appartement
T3 de 69m2, traversant, en 2ème étage avec
ascenseur, bénéficiant d’une
terrasse de 19m2 (
orientée sud) sans vis-à-vis, avec vue dégagée,
Présence d’une place de
parking en sous-sol.
Située dans une copropriété classée BBC de 2014, bénéficiant d’un
DPE en C, ce logement en très bon état a été acheté
271 000 Euros (
hors les frais de notaires), soit environ 3385 Euros le m2 en pondérant la surface extérieure.
Situé
avenue Jean Rieux, dans le bas du
quartier de la Côte Pavée, appartement
T2 de 50 m2 offrant deux
balcons.
Au 1er étage sur 4 avec
ascenseur, ce grand deux pièces donne sur l’intérieur de la copropriété, au calme.
Dans une copropriété de qualité, entretenue, construite en 1984, ce logement - classé en C au niveau du DPE - est complété par une place de
parking en sous-sol et un
cellier.
Cet ensemble immobilier a été négocié
190 000 Euros (
hors frais de notaires), soit environ 3800 Euros du m2.
Localisé
rue Jean Viollis dans le
quartier toulousain des
Arènes Romaines, appartement de
T1 bis de 30,28m2, doté d’un petit
balcon d’environ 4m2, au deuxième étage sur quatre avec
ascenseur d’une copropriété de la fin des années 90 bénéficiant d’un environnement calme et de la ligne du Tramway à proximité immédiate.
Vendu meublé, dans un état général correct (peinture seulement à refaire), ce logement, complété par un
cellier et un
parking aérien, a été négocié
126 000 Euros (
hors frais notariés), soit environ 4100 Euros le m2 en pondérant la surface extérieure.
Se trouvant
rue de Chaussas, dans le
quartier des Minimes, côté Canal du Midi (
à quelques encablures à peine de la station de métro), appartement
T3 de 69m2, avec
balcon d’environ 3m2, au 1er étage sur 4 avec
ascenseur d’un bâtiment construit en 1997.
Ce bien, en bon état général, bénéficiant d’un diagnostic de performance énergétique (
DPE) en
D, proposé avec un
cellier au rez-de-chaussée de l’immeuble et d’une place de
parking situé dans la cour intérieure de la copropriété a été acheté
255 000 Euros (
auxquels s’ajoutent les frais notariés), soit environ 3680 Euros le m2 après avoir pondéré la surface extérieure.
Ensemble immobilier situé
rue Louis Vitet (
dans le quartier du Pont des Demoiselles) composé d’un appartement de type
T3 d’environ 61,60m2 situé au 3ème et dernier étage avec terrasse (
d’environ 10m2) et d’un
garage boxé confortable de 16m2.
Au cœur d’une grande propriété de 1992, entretenue, ce logement (
classé en D au niveau du DPE), ne nécessitant pas de travaux particuliers (
rafraichissement peinture au niveau des pièces d’eau seulement), et sa dépendance ont été achetée
225 000 Euros (
hors frais de notaires), soit environ 3350 Euros le m2 en pondérant la surface extérieure.
Appartement
T3 de 66,30m2 environ, en
rez-de-chaussée sur 4, situé
rue de Grenoble dans le
quartier Amouroux, à 10 minutes à pied environ de la station de métro Roseraie.
Dans une copropriété horizontale des années 70 constituée de plusieurs immeubles de trois ou quatre étages, entourés d’espaces verts, cet appartement fonctionnel (
composé d’un séjour, d’une cuisine prolongée par un cellier, de deux chambres dont une avec dressing) est complété d’une
cave et d’une place de
parking extérieure.
Ce logement classé en E au niveau du DPE, vendu dans un état correct mais nécessitant quelques travaux de rafraichissement et, idéalement, un changement des huisseries (
en simple vitrage) a été acquis
105 000 Euros (
hors les frais de notaires), soit environ 1583 Euros du m2.
Localisé
route de Revel, près de la
Place de l’Ormeau, dans une résidence très contemporaine de 2013, appartement
T4 d’environ 101,50m2 bénéficiant d’une
loggia ouverte d’environ 6m2 et doté d’une
cave et de deux places de
parking.
Au troisième et dernier étage avec
ascenseur, en parfait état, classé en B au niveau du diagnostic de performance énergétique (DPE), ce logement économe a été acheté
441 000 Euros (
hors les frais notariés), soit environ 4250 Euros le m2 en pondérant la surface complémentaire extérieure hors carrez.
Au cœur du
quartier des Chalets,
rue de Châteaudun, dans un environnement très calme, grand
T3 d’environ 79m2 avec en sus une
loggia prolongeant le séjour et la cuisine et un petit
balcon côté chambre.
Traversant, classé en D au niveau du DPE, ce logement jusque-là loué nécessitait quelques travaux : cuisine à refaire/moderniser et peinture à reprendre dans l’ensemble de l’appartement.
Situé au 1er étage sur 5 avec
ascenseur d’une résidence qualitative du début des années 90, bien entretenue, bénéficiant par ailleurs d’un
parking aérien sécurisé, cet ensemble immobilier a été acheté
305 000 Euros (
hors frais notariés), soit environ 3550 Euros le m2 en pondérant les deux surfaces extérieures complémentaires.
Jouxtant quasiment le
Port Saint-Sauveur du Canal du Midi,
rue Bernard Mulé, au calme, appartement
T3 de 62,15m2 au 3ème étage sur 4 avec
ascenseur d’une résidence contemporaine de 2003.
En bon état général (
même si la cuisine et la salle-de-bains - propres, entretenues, mais ayant 21 ans - méritent de retrouver une certaine jeunesse), ce logement est classé en C au niveau du DPE.
Il bénéficie d’une
terrasse d’environ
10m2 donnant sur l’intérieur de la résidence (
copropriété très bien gérée), d’une
cave et d’une place de
parking en sous-sol.
La mutation de ce bien s’est effectuée au prix de
258 000 Euros (
hors les frais de notaire), soit 3970 Euros le m2 en pondérant la surface extérieure.
Achat de maisons dans TOULOUSE
Se trouvant
rue Axel Duboul, soit une petite voie très calme, car peu passante, mais néanmoins sous le couloir aérien de cette partie du
quartier Croix de Pierre,
maison d’environ
141 m2, en R+2, sur une
parcelle d’environ
675m2 (
découpage possible) arborée, avec un portail d’entrée permettant de garer plusieurs véhicules et où se trouve des petites dépendances anciennes (
deux celliers) pour du rangement.
Nécessitant une réfection et modernisation complète (
environ 180 000 à 220 000 Euros de travaux selon les matériaux et prestations choisis), cette habitation des années 40 a été acquise
326 500 Euros (
hors frais de notaire), soit environ 2300 Euros du m2 avant travaux et approximativement 3600 à 3800 Euros le m2 après travaux.
Située sur une petite voie calme et résidentielle du
quartier Soupetard,
rue Clément Marot,
maison en R+1 de type
T5 d’environ 144m2.
Construite dans les années 60, cette maison très bien entretenue (
façade et toiture refaite, intérieur en très bon état), mitoyenne par le
garage, offre un
jardin et une
piscine sur l’arrière de la parcelle.
Ne nécessitant pas de travaux particuliers, cette demeure a été acquise au prix de
533 000 Euros (
les frais notariés s’ajoutant à cette somme), soit environ 3700 Euros le m2.
Implantée dans le
quartier Guilhermy, proche de Saint-Simon,
rue Paul Debauges (
31100 Toulouse),
maison T5/6 sur 2 niveaux d’environ
118m2 construite au début des années 2000 dans un
lotissement très calme.
Composée de 4 chambres, d’une pièce type atelier, cette maison sur une
parcelle d’environ 336m2, avec
piscine semi enterrée et 2 abris de jardin, est mitoyenne
via son
garage avec une maison similaire.
En bon état général, elle a été achetée
361 000 Euros (
hors les frais de notaires), soit environ 3050 Euros le m2.
Implantée
impasse Fouque, près du
Pont des Demoiselles (
du côté du bas de la Cote Pavée),
maison toulousaine typique des années 1920, de type
T6 d’environ 165m2 habitables, en bon état, proposant un
jardin au calme, arborée, d’environ
380m2.
Dotée également de dépendances constituées d’un
studio équipé et meublé d’environ
30m2, ainsi que deux
garages boxés, cette demeure en bon état, bénéficiant d’un DPE en D, a été achetée
914 000 Euros (
hors frais de notaires), soit environ 5539 Euros le m2.
Acquisition d’immeuble dans le centre-ville toulousain
Situé
rue du Printemps, au calme, dans le cœur du
quartier Chalets/Concorde, très bel
immeuble en briques, typique de l’architecture toulousaine, d’environ
210m2 habitables composé d’un grand
T1 avec cour de 12m2, d’un
studio (
à refaire), d’un
T3 avec un grand
balcon et d’un
T4 bis en duplex offrant une vaste
terrasse de 20m2.
Immeuble en monopropriété en bon état (
DPE : C), tout comme les logements (
seules les deux petites surfaces devant être soit à moderniser, soit à recréer).
Destiné à un
investisseur (
rentabilité de 3,5 % à 4 % selon les options choisies : 3 ou 4 lots, logements loués vides ou en meublé) ou à une famille cherchant, en plus de sa
résidence principale, des revenus fonciers complémentaires et/ou à coupler son habitation à des bureaux pour une activité professionnelle, cet immeuble de la seconde moitié du 19ième siècle, constituant un investissement patrimonial qualitatif, à la gestion aisée (
demande locative significative avec l’Université Toulouse Capitole et les écoles de commerces toulousaines très proches), rentable (
absence de copropriété et de charges associées), a été acquis
780 000 Euros (
hors frais notariés), soit environ 3500 Euros le m2 en pondérant les surfaces extérieures.
Achat d’appartements ou de maisons sur des communes situées en première ou deuxième couronne de la Ville rose
Sur la commune de RAMONVILLE-SAINT-AGNE, au calme sur l’avenue des Crêtes, appartement de type 4, en duplex, proposant une surface de 84,63m2 au sol, dont 78,76 m2 en loi Carrez.
Au 2ème et dernier étage avec ascenseur, bénéficiant de deux balcons d’environ 5m2 chacun, ce logement lumineux et en très bon état, se trouve dans une copropriété contemporaine, entretenue, de 2009.
A ce T4 fonctionnel s’ajoute un cellier et deux places de parking en sous-sol.
Cet ensemble immobilier a été acquis 244 000 Euros (auxquels s’ajoutent les frais notariés), soit environ 2850 Euros le m2 en pondérant les surfaces hors carrez.
Située sur la commune de LAMASQUERE, route de l’Aussau, grande maison T8, spacieuse, d'une surface d’environ 173m2.
Entourée d’un terrain d’environ 2850m2, cette demeure familiale contemporaine, édifiée en 2004, en très bon état, toujours entretenue, offre des prestations très fonctionnelles et un confort moderne : chauffage au sol par géothermie, cumulus thermodynamique, aspiration et volets centralisé, balnéo, portail automatisé et visiophone, etc.
Doté d’une piscine et d’un agréable espace vert, elle jouit d’un environnement immédiat calme, à 800 mètres environ du cœur du village.
Elle a été achetée 504 000 Euros (hors frais de notaires), soit environ 2913 Euros le m2.
Implantée
rue de la Clairière sur la commune prisée de
BALMA, dans un environnement résidentiel très calme,
maison contemporaine d’architecte de type
T6.
Avec une surface de
180m2 environ en R+1, cette demeure de
grand standing, construite en 2015, en parfait état, baignée de lumière via de grandes ouvertures, propose des prestations particulièrement haut de gamme.
Bénéficiant d’un beau
terrain arboré d’environ
850m2, avec
piscine, dans un environnement calme privilégiée, elle a été acquise au prix de
1 065 000 Euros (
hors frais notariés), soit environ 5900 Euros du m2.
Achat d’une résidence secondaire dans un département limitrophe à la Haute-Garonne
En
Ariège (
à 1 H 30 environ de TOULOUSE), dans le cœur historique du village de
LAROQUE-D’OLMES, belle
maison ancienne du 19ième siècle, non mitoyenne, de type
T7 d’environ
195m2 habitables, doté d’un
jardin intime, arboré, de
950m2.
Un
garage et des espaces de rangement (
cave et grenier) complètent cette demeure de charme nécessitant des travaux conséquents de modernisation : peintures/tapisseries, cuisine et salle de bains à refaire, système de chauffage à installer, couplé à une isolation des combles et un changement des huisseries.
Bénéficiant de tous les commerces et supermarchés dans le village, cette demeure - qui se trouve à 30 minutes environ des stations de ski LES MONT d’OLMES - a été acquise au prix de
99 000 Euros (
hors frais de notaire), soit environ 1900 Euros du m2 avant travaux.
Il va de soit que cette liste est non exhaustive ne serait-ce que parce que des dossiers se recoupent sur une année (
quand bien même chaque projet immobilier est singulier, a ses particularités) et qu’il n’est donc pas forcément utile de répertorier ceux ayant trop de « similitudes ».
Elle est en revanche représentative des micro-marchés caractérisant une partie des secteurs géographiques où tel ou tel chasseur immobilier de notre équipe est intervenu, a accompli sa mission de recherche immobilière ciblée.
L’immobilier est source de plaisir (
voire même un amusement si on le décline sous forme de jeu ; voir en ce sens notre présentation : « Monopoly made in TOULOUSE : une façon ludique de découvrir la Ville rose… et peut-être plus d’un point de vue immobilier. « Partie guidée » par votre chasseur immobilier »), d’aspirations à matérialiser, quand ce n’est pas de rêves à concrétiser, mais y parvenir implique de l’expertise.
A fortiori dans les périodes indécises, plus délicates d’un point de vue économique, social et politique général où le marché immobilier tend à se durcir, où les enjeux financiers liés à un projet s’intensifient.
La réalité est en effet changeante, les cycles immobiliers se succèdent avec leurs lots de facilités ou de difficultés : 2024 en atteste si besoin.
Tout comme dans ce contexte mouvant, aléatoire,
Domicilium a, à l’inverse, démontré son solide savoir-faire dans l’intérêt de nombreux acquéreurs.
C’est là notre quotidien depuis 2007.
En témoignent pour l’année qui s’achève les projets effectués ci-dessus mentionnés, démontrant aussi de facto le besoin et l’intérêt fondamental de recourir à un service sur-mesure, à une prestation personnalisée sécure, a fortiori dans ce type de période « gangrénée » par l’incertitude, à tout le moins où les repères s’avèrent fluctuants.
Eric MASSAT - Direction de Domicilium
Eric MASSAT - Direction de Domicilium
Docteur en Droit, Expert du marché immobilier.
Fondateur et co-gérant de Domicilium. Depuis 2007 société pionnière et leader de la chasse immobilière en Haute-Garonne et Occitanie.
Ancien Avocat au barreau de Toulouse, ancien
Enseignant et Chercheur à UT1 (Université Toulouse Capitole) et à l’IEP de Toulouse.
Depuis 1993 au centre de la vie économique, sociale et culturelle toulousaine.
Publié le dimanche 01 décembre 2024