We love TOULOUSE... Ville rose, belle et insolite à la fois !
En ce début d’année, pour la commencer sous le signe du sourire, augurer des perspectives réjouissantes, nous vous proposons un petit périple dans TOULOUSE, un regard parfois décalé, via une série de photographies prises à l’occasion de nos déplacements.
Ces derniers sont nombreux en raison même de la nature intrinsèque de notre activité de chasseur immobilier investiguant sans cesse les moindres recoins de la ville… et de notre plaisir de le faire au-delà même de nos obligations professionnelles.
Chasseur immobilier professionnel… et chasseur d’image amateur
Qu’il s’agisse de sorties pour visiter des appartements, des maisons, des locaux professionnels ou des immeubles pour nos clients, de réunions de travail de notre équipe, de rendez-vous avec des partenaires, un notaire, un architecte, un décorateur, un artisan du bâtiment, un agent immobilier, un promoteur ou lotisseur, un gestionnaire de patrimoine, un courtier, etc., en tant que chasseur immobilier nous avons en effet très régulièrement l’occasion de nous muer - ne serait-ce que l’instant d’un rapide cliché - en « chasseur d’images », version couleur et contemporaine donc (
pour du noir et blanc et des reproductions anciennes se reporter à notre billet paru il y a un an exactement : « Il était une fois… TOULOUSE. Du noir et blanc ancien, mémoire d'une Ville rose où il fait si bon vivre. »).
TOULOUSE en quelques photos : l’élégance et la chaleur de la capitale Occitane
En guise de prémices, voici quelques rappels, tout aussi évidents que visuels (donc), permettant de bien situer l’action, notre contexte urbain de chasseur sachant chasser (espérons-le !), en toute hypothèse chassant le bien immobilier - c’est-à-dire, pour les non-initiés, conseillant et proposant un service à l’achat clé en main, sur mesure, dédié aux acquéreurs - depuis 2007…
Pour commencer ce périple citadin en terres toulousaines (très) célèbres, les monuments de l’agglomération rivalisent avec ceux des plus belles villes de France et de Navarre, de jour comme de nuit (oui, nous l’avouons bien volontiers, l’objectivité sera « peut-être » un tantinet absente dans ce billet… mais comme le clament les toulousains pure souche : « raï ! ». Autrement dit, dérivant de l’occitan rai, ce n’est pas grave, on s’en fiche - version édulcorée de « on s’en carre » -… Rassurez-vous, il en va ainsi seulement aujourd’hui où l’amusement, un regard distancié et subjectif l’emporte exceptionnellement - en cette période encore un peu festive - sur nos habituelles approches rationnelles et critiques toujours nécessaires pour approcher autant que possible une forme de vérité, a minima faire preuve d’honnêteté intellectuelle).
Illustration de cet enchantement urbain toulousain, les prises de vues ci-après répertoriées du Dôme de la Grave surplombant la Garonne, de la Place du Capitole côté pile et côté face, du Pont-Neuf (avec l'église de la Daurade en ligne de mire jouxtant l’École des Beaux-Arts), de la Cathédrale Saint-Etienne, du Pont-Neuf à nouveau de nuit et de jour, de la Basilique Saint-Sernin, du quai Lucien Lombard et de la promenade Henri Martin vus du Port Viguerie, de l’Hôtel d’Assézat ou encore de Notre Dame de la Dalbade :
Pour se faire, c’est bien connu - mondialement, pas de fausse modestie ! -, la brique rose illumine la ville :
… et le galet ramène à la Garonne :
… où aiment flâner les promeneurs comme le rappelle le grand peintre Henri Martin dans une de ses œuvres majeures à découvrir derrière les murs du Capitole, précisément la partie de l’hôtel de ville, près de la salle des Illustres, où sont célébrés les mariages :
Fleuve de la Garonne prenant sa source dans les Pyrénées centrales espagnoles… montagnes pyrénéennes jamais loin. Si, si, il suffit de porter son regard à l’horizon :
Par ailleurs, si besoin était, rappelons que tous les styles, époques et formes d’architecture se côtoient dans la Cité des violettes, rivalisent d’éclat ou d’originalité, le plus généralement sur fond de ciel bleu !
Par ordre d’apparition (
mais d’autres exemples, évidemment, auraient pu être retenues tant les constructions offertes sont variées et que notre métier de chasseur immobilier nous conduit à arpenter régulièrement la totalité de l’agglomération toulousaine ou bien - efficacité et réactivité oblige - à la sillonner en pédalant ; thématique abordée dans notre billet : « Vélô Toulouse… parcourir la Ville rose à bicyclette ! ») : rue de la Pomme, boulevard des Minimes, place du Parlement, place de la Daurade, boulevard de l’Embouchure, rue du Général Jean Compans, rue du Languedoc, rue de Gascogne, rue des Filatiers, rue Émile Dewoitine, rue du Languedoc et angle Grande rue de Nazareth, angle rue des Arts et rue Croix Baragnon, allée Emilie du Châtelet entre la rue Jeanne Marvig et le boulevard de la Marne, rue Pierre Cazeneuve, rue Pierre-Paul Riquet et rue de la Paix (
arrière du Conseil départemental) :
Plus agréables les uns que les autres, notre « terrain de chasse » nous permet aussi de traverser des jardins publics (
tel le Jardin Royal parallèle aux allées Jules Guesde, le square Boulingrin du Grand Rond, le Jardin japonais Pierre Baudis dans l’antre du vaste jardin Compans-Caffarelli agrémenté de son plan d’eau…) :
… ou des places intimes (par exemple, la Place Sainte-Scarbes dans le quartier des antiquaires ou bien la Place Salengro derrière le Capitole et jouxtant l'artère principale de la ville qu'est la rue Alsace-Lorraine) qui font, ensemble, le charme - bien connu… et jalousé ! - de TOULOUSE :
Si vous ne le saviez pas déjà, vous l’aurez compris, en toute objectivité (
… !), tout est admirable à TOULOUSE.
A cet égard, toujours remarquable donc, même les plaques d’égout (sur la Place Saint-Sernin pour celle-ci) y ont du style :
Les cages d’escaliers (
ici l’Hôtel de Nupces, rue de la Bourse)… inutile de le souligner !
Cette beauté omniprésente et permanente explique du reste que les prisons, ici ou là (
rue de la Bourse en l’occurrence), y sont bien sûr dorées :
Et que dire de ses habitants au parler chantant, à la faconde du sud-ouest, qui ne mettent pas un pain au chocolat dans un sac - quelle banalité -, mais une chocolatine dans une poche (
d’autres expressions typiquement toulousaines qui ensoleille nos journées sont à venir) !
Les concernant, peu importe où l’on se trouve, que les quartiers annoncent la couleur au quidam qui les traversent :
Ou délivrent des messages :
- « aquatiques » parfois (quartier Saint-Cyprien, à l’angle de la rue Coupefer et de la rue des Teinturiers) :
- de nivellement afin de matérialiser l’altitude via d’anciens repères, en fonte le plus souvent, que seul l’observateur attentif remarquera, comme ici rue Albert Lautmann où le marcheur se trouve à 142,50 mètres par rapport au niveau de la mer :
- poétiques souvent comme cette ode - gravée sur la fontaine Clémence Isaure de la Place de la Concorde au cœur du quartier des Chalets - de l’écrivain toulousain du 19ième siècle, d’expression occitane, Lucien MENGAUD qui inspirera la célébrissime chanson « Toulouse » de Claude NOUGARO :
- picturaux pour embellir toujours plus la Ville où l’art est ainsi omniprésent, comme sous les arcades de la Place du Capitole avec 29 panneaux/tableaux de l’artiste français Raymond MORETTI retraçant l’histoire de TOULOUSE :
- historiques, et en l’espèce peu réjouissante, pour ne pas dire morbide bien que rue… Vivent (!), à l’intérieur du Capitole :
- publicitaires… mais authentiques cela va de soit ! (ici pour les amateurs du vin de la région, rue Alexandre Falguière) :
- humoristiques - et dans ce cas éphémère - avec par exemple ce tifo géant déployé par les supporters Toulouse Football Club lors du récent match de Coupe d’Europe (9 novembre 2023 devenu « historique » pour les amoureux du ballon rond en Midi-Pyrénées) contre le prestigieux club de Liverpool où les Violets du TFC (à prononcer avé l’accent Téfécé !), dans leur antre du Stadium municipal sur l’Ile du Ramier, ont réalisé l’impossible, vaincre les Reds (3-2), légendes de ce sport planétaire :
- ou « simplement » de bienvenue (gare Matabiau), l’originalité étant toutefois toujours de mise :
TOULOUSE, séduisante au possible, permet forcément de rencontrer de jolies toulousaines… au naturel, sans maquillage, comme ici rue Claire Pauilhac (
pour le non-local ou non-initié à l’architecture, une toulousaine est en effet une… maison sans étage - sur rue ou en chartreuse -, un joli habitat typique de la ville, construite à la fin du 19ième siècle ou au début du 20ième) :
Devenues rares en hyper centre-ville (un autre exemple ci-dessous rue de Châteaudun), lorsqu’elles subsistent elles forment (au dire des prospecteurs de foncier bâti) une « dent creuse »… particulièrement convoitée par les promoteurs et marchands de biens (dentistes urbains, prothésistes de la construction donc !) souhaitant les faire grandir d’un coup… Croissance de taille signifiant "immobilièrement" parlant croissance de Chiffre d’Affaire !
Comme ici pour l’une d’entre-elle (en plein chantier… presque dantesque !) rue Saint-Honest alors que sa voisine demeure encore épargnée, conserve son charme ancien, authentique :
A cet égard, d’autres charmantes demoiselles, pareillement en briques et/ou galets, se voient affubler de ce nom de toulousaines, ou l’usurpent… peut-être par jalousie (
telle celle-ci rue de la Concorde)… ou prétention ; mais c’est là un abus de langage que nous leur pardonnerons toutefois tant elles sont également séduisantes !
… tout comme des toulousains, quelque soit leur âge, espiègles et rieurs (rue de Belfort dans le quartier Bayard - Jean-Jaures) :
De fait, il faut donc rouler lentement (pas plus de 20 km/h… rue Ozenne ! Qui dit mieux ? Sachant à ce sujet qu'en ce 1er janvier 2024, partout dans la ville, le 30 km/h maximum est désormais de mise) pour espérer pourvoir tout admirer comme il se doit, prendre la pleine mesure de cette métropole méridionale :
Mais, boudu, il y a bien plus que cela… con (
ponctuation chantante tout aussi toulousaine que… toulousaine) dans la Ville décidément rose.
Toujours en images, un TOULOUSE plus inédit, à l’occasion pittoresque, mais forcément séduisant et souvent original, parfois cocasse ou truculent, mais inévitablement colorés et chaleureux.
A TOULOUSE, la mer méditerranée d’un côté et l’océan atlantique de l’autre, nous trouvons bien évidement un port (Saint-Sauveur… pour ceux qui ne savent pas nager), qui ne fait pas de vague. On vous le dit, que des avantages à résider dans la ville rose !
Dans cette capitale de l’Occitanie, on rencontre certes les pitchouns… mais aussi des rues pitchounettes, autrement dit des ruelles… mais portant bien leur nom (rue Bedellières donnant sur la rue Saint-Rome et la rue Tripière) !
Et des animaux également :
- « préhistoriques », mais le gecko parait-il - rue d’Embarthe ici - porte chance, alors heureux celui qui, comme nous, croise par hasard ce petit lézard… :
- symboles de paix, telle cette colombe à la fière allure dominant la ville perchée sur un toit rue de la Dalbade :
- paisibles, en apparence au moins, comme ce taureau plus blanc que blanc du jardin Raymond VI jouxtant le musée d’art contemporain des abattoirs dans le quartier Saint-Cyprien :
- en provenance de la jungle (enfin, de la zone verte des Argoulets) ou de chez un marchand de glace (à côté du complexe de Pelote basque au sud du même quartier des Argoulets) :
- en mode pause pour ces hirondelles surveillées par un chat et une souris (
ou l’inverse !) régnant sur un balcon de la rue Monplaisir (
secteur Busca/jardin des Plantes/Canal du Midi) :
- certains, ça ne trompe pas, forts utiles pour réaliser des travaux (
à l’angle de l’impasse Mas et de la rue Antonin Perbosc dans le quartier des Chalets) :
- et d’autres, en famille (très nombreuse), particulièrement bien organisés, plutôt bruyants et quelque peu piquants (« effrayante » vision que cet essaim d’abeilles lors d’une visite d’une maison à expertiser dans le cadre d’une succession, rue Barrau au cœur du quartier de la Cote Pavée) :
TOULOUSE, c’est aussi des angles de rue saillant (non loin de la Place du Salin, rue de la Hache… ça ne s’invente pas !) :
Un modernisme à toute épreuve (
rue Escoussières Arnaud Bernard et dans un immeuble Haussmannien rue de Metz) :
Une technologie de pointe dans la même maison… rue Jean Gayral du quartier des Sept-Deniers (
les découvertes de cet acabit - d’autres à venir ci-après - lors de visites de logements dans l’intérêt de nos clients enjolivent, cela va sans dire, nos journées de recherches immobilières ciblées) :
De miraculeuses piscines improvisées réservées aux enfants (
square Charles de Gaulle, derrière le Capitole et devant la rue Alsace-Lorraine) :
D’autres, plus classiques, dévolues aux pigeons amateurs d’art (
place Wilson) :
Des personnages emblématiques :
- de Pierre-Paul Riquet impassible (à la jonction des Allées Jean-Jaures, du boulevard Pierre-Paul Riquet et du boulevard Bonrepos) au tribun Jean Jaures haranguant la foule (immense reproduction photographique murale au sein du Conseil Départemental) ou trônant comme apôtre de la paix dans le square Charles de Gaulle (TOULOUSE… terre politique où éclectique rime avec démocratique !) :
- de Claude NOUGARO (statue devant la fontaine du square Charles-de-Gaulle) ayant magnifié TOULOUSE en chanson à Carlos GARDEL, symbole à lui seul du Tango, né dans la Ville rose à la fin du 19ième siècle (buste sur le boulevard Lascrosses à l’entrée du jardin Compans-Caffarelli) :
- sans oublier Antoine de SAINT-EXUPERY, héros de l’aéropostale - dont TOULOUSE fut l’épicentre - et père du « Petit Prince »… rien que ça !
Et d’autres habitants, dont l’homme à l’habit rouge (
et parfois à tête de pomme) qui se promène un peu partout dans la ville, œuvre du sculpteur James Colomina ; ici rue Caffarelli, rue de Périole, allées Jean-Jaures, au Square Boulingrin (
Grand Rond) et boulevard de la Gare (
où se trouve l’atelier de l’artiste) mais nécessitant pour l’apercevoir de se rendre rue Denis Papin :
…ou son compagnon urbain vêtue de jaune (
rue Antoine Deville), tout aussi pensif et énigmatique sur son balcon :
… quand ce n’est pas des farfelus, aventureux bravant l’interdit et le danger, excités par l’exploration urbaine sur les toits d’un immeuble (
rue Pouzonville).
« Macarel…des jobastres » donc (
expressions là encore purement toulousaines signifiant oh punaise - pour ne pas écrire putain -, des inconscients, des fous) comme grommèlerait un papi local qui auraient pu les distinguer du marché Cristal, aux fruits et légumes (
boulevard de Strasbourg), béret vissé sur la tête :
Parfois, on dégote aussi dans la Ville rose des demeures en manque d’amour, en quête d’acquéreur (ouf, Domicilium Chasseur immobilier est là !)… :
Et d’autres très bien gardées (Place Saint-Sernin au niveau du musée Saint-Raymond dédié à l’archéologie), voire surveillées (rue Salvy) avec sourire bien sûr… :
Notons sur cette ligne sécure que dans la quatrième ville de France, voir (
plus clair) et être vu (
contrôlé) se confondent parfois :
Et que la vigilance, ancienne, se déploie même sous les créneaux... (rue Ozenne) :
En fait, au pays où « même les mémés aiment la castagne » comme l’a chanté l’immense NOUGARO, le civisme est rappelé à l’ordre… gentiment :
… ou pas :
La liberté est de mise… mais avec quelques modérations (
quartiers des Chalets, rue Edouard Dulaurier) :
Ou rue Albert Lautmann, face à la Faculté de Droit, où il convient bien sûr de marcher… droit :
Teintée d’une réglementation, à l’occasion, un brin militaire (
chemin du Raisin, quartiers Minimes/Raisins) :
… à tout le moins parfois scrupuleuse (
partie commune d’un immeuble toulousain de la rue Claire Pauilhac, quartier Chalets/Concorde) :
Car, admettons-le, quelques copropriétaires sont parfois en colères… (
cage d’escalier d’un immeuble boulevard de Strasbourg) :
Le chasseur immobilier doit donc faire attention. Du reste, chasser des biens pour les acquéreurs n’est pas toujours sans risque…
Des visites de maisons ou d’appartements peuvent en effet surprendre, quand ce n’est pas générer une certaine angoisse !
Tel que dans cette ancienne ferme sur la commune de Pibrac, en période d’Halloween il est vrai :
Ou dans les couloirs de cette propriété (
dans son « jus ») située à la sortie de Quint-Fonsegrives en direction du Lauragais où régnait un esprit "Shining"… étrangement présent et pesant :
Il faut donc trouver du réconfort et/ou apprendre pour ne pas/plus avoir peur.
De sorte que TOULOUSE propose aussi des bureaux de bienfaisance (rue du Taur), couplés parfois d’une crèche, ne lésinons pas (rue Saint-Jean), les toulousains sont généreux !
Et des foyers étudiants (
rue des Lois) dès 1943 :
Heureusement, d’autres visites ou pré-visites de biens immobiliers sont sources de bonheur… et pas seulement pour la qualité des prestations offertes ou le style proposé (dans les deux cas indéniables à TOULOUSE !).
Tel ce symbole du sport d’équipe par excellence, dont la solidarité est la valeur première, trônant sur la cheminée d’une belle maison de campagne du côté de LEVIGNAC, à l’ouest de la ville.
Terre d’ovalie s’il en est, TOULOUSE se conjugue souvent en Rouge et Noir (« jeu de mains…. jeu de toulousains »… tout est dit) ; les amoureux du rugby… (et de leur papa donc) partage cette passion depuis des générations :
A propos de ballon ovale, la bienvenue (
tout visiteur le sait : TOULOUSE est accueillante… donc très appréciée, recherchée pour sa qualité de vie) à la Coupe du Monde était une évidence, à l’instar ici de la sortie des lignes A et B du métro à la station Jean-Jaures :
Cet attrait pour la ville qui ne cesse d’ailleurs de s’étendre et grossir - les nouveaux arrivants étant chaque année plus nombreux que les partants (
par obligation, forcément tristes, pour les seconds… !) - s’explique aisément.
Outre le climat, son dynamisme économique, le bassin d’emploi constitué, la jeunesse étudiante qui l’anime, ses pôles de recherches exemplaires, son art de vivre méditerranéen, etc. (
arrêtons, la liste est trop longue !), à TOULOUSE, décidément, on fait vraiment bien les choses et cela dans les moindres détails.
A titre d’exemple, il existe ainsi des maisons pour couples (craignant certainement la banalité du quotidien… quand bien même dans la Ville rose tout, ou presque, est rose… évidement) en mode séparés, comme celle-ci lovée rue Pouzonville :
Et, si besoin, pour les réconcilier… de magiques arcs en ciel :
… ou de terre (jonction entre l’avenue de la Garonette et le majestueux quai de Tounis) :
Ou les deux à la fois ! Le toulousain - dès le plus jeune âge - n’ayant peur de rien (place Roquelaine), pas même de l’impossible :
La terre, le ciel/l’air et même l’eau… (jet d’eau du Jardin Royal un jour de visite d’appartement rue Jules de Resseguier… pour le ravissement d’un client). Magie toulousaine !
Pour ceux qui craignent le soleil du midi, la ville offre parfois des solutions radicales, peu propice à admirer le ciel bleu toulousain, mais néanmoins « harmonieuses », stylisées, fondues dans l’architecture locale (
angle de la rue Saint-Bernard - siège de Domicilium - et de la rue Henri Belardi dans le quartier Saint-Sernin, proche de Jeanne d’Arc)…
… ou pas !
Dans ce cas, en contrepartie, la sécurité s’impose via des prouesses techniques… (
rue Volta quartier Concorde - Matabiau) :
Ou, à l’inverse, fait largement défaut… mais peu importe, seul le vent peut voler ! (quai Lucien Lombard) :
Des fenêtres - à l’« image » de celles-ci-dessus… - aux multiples visages (
successivement rue Henri de Gorsse - face à l’église de la Dalbade, à l’épicentre du quartier historique des Carmes -, chemin Linières - quartier des Raisins -, rue Merlane - quartier Saint-Etienne -, rue Charles Viguerie - près de la Garonne sur la rive gauche - rue du Languedoc, entre la Place Esquirol et la Place des Carmes) :
Quelques miracles immobiliers - dont le (bon) chasseur de biens peut avoir le secret… - se réalisent aussi avec la découverte, par exemple :
- de terrains à construire (en l’espèce, il est vrai après démolition)… en plein centre-ville, telle cette trouée géante entre la rue d’Austerlitz et la Place Wilson, plus exactement les allées du Président Franklin Roosevelt :
- de charmantes résidences, principales ou secondaires, aussi chaleureuses qu’un véritable nid douillet (
la ressemblance n’est-elle pas frappante ?) entourées de violettes, enfin de jolies fleurs au couleur de la ville :
Dénicher (c’est le mot !) ces opportunités - et c’est fondamentalement toujours à l’opportunité que l’on achète dans un marché tendu - n’est pas forcément évident.
L’immobilier - de qualité s’entend - requière de l’expérience, un savoir-faire, en matière spécifique de recherche des outils adaptés et innovants permettant de balayer exhaustivement et rapidement le marché visé, une expertise à toutes épreuves, un réseau de partenaires fiables, une action quotidienne ajustée, bref du professionnalisme.
A s’en tenir à des annonces glanées sur la toile ici ou là, de temps à autres, la déconvenue peut s’avérer grande, la perte de temps très/trop fréquente :
- désolé, ça n’a pas marché !
- l’information inconséquente légion… même si certaines « perles » à ne rien y comprendre (
ah, le fameux site « leboncoin » - ou lamauvaiseaffaire parfois… -, véritable fourretout ou le meilleur côtoie le pire) valent le détour :
Contrairement à des visites… épuisantes et inutiles :
- avec un ascenseur en panne… pour sûr, il manque à l’appel (immeuble haussmannien de la rue Alsace-Lorraine) :
- ou pour un logement « offrant » un DPE médiocre (
vous croyez vraiment… ?) :
- ou simplement retardées… par exemple par un salon de l’agriculture improvisé (moins glamour… mais plus authentique que le célèbre salon parisien) boulevard Lascrosses face à l’inspection du Travail dans la Cité Administrative !
Revenons à nos moutons (bien qu’en ce jour de manifestation champêtre il n’y en avait pas !), que dis-je, à nos pérégrinations dans la ville au cours des derniers mois visant à honorer nos différents rendez-vous (visites de logements, expertises de biens, signatures notariales, etc.), à accompagner nos mandants dans leur projet immobilier.
En ce sens, pêle-mêle - richesse toulousaine oblige ! - voici d’autres « rencontres », situations, visions ou lieux plus ou moins insolites, décalés, amusants ou rafraichissants selon les cas.
Ainsi, pour les plus timides peut-être, des lieux de rencontre balisés (place Saint-Sernin) :
Pour les plus gourmands, de grosses bâtisses (rue Bellegarde) permettant de se régaler copieusement :
Pour les amoureux, les lecteurs ou simplement les promeneurs aspirant à une pause, des bancs publics dans des lieux préservés et encore méconnus (celui-ci ne le sera plus désormais pour les lectrices et lecteurs de notre blog… que nous remercions pour leur fidélité et leur nombre sans cesse croissant), à l’instar de ces bancs dominant la ville à Marengo, sur le Parc Félix Tisserand (dénommé aussi Parc de la Colonne) devant le Jardin de l’Observatoire :
Pour les lève-tôt, des matins silencieux, propices à la rêverie, autour de Saint-Sernin :
Et des après-midis plus « rock » (
ici rue Saint-Bernard), propices à la lacrymo… :
Pour les nostalgiques ou ceux recherchant à tout prix l’originalité décorative (tous les goûts ne sont-ils pas dans la nature ?), du vintage tendance, à l’instar de cette salle de bains construite en 1959 dans une vaste maison familiale de la rue Érasme du quartier Saint-Agne :
Une décoration, parlons-en, avant-gardiste grâce à des objets futuristes (
chaussures de ski particulièrement modernes et téléphone dernier cri… « exposés » dans une maison du quartier Saouzelong-Rangueil, avenue des Avions) :
Des immeubles transfigurés (
à l’angle de la rue Matabiau et de la rue Claire Pauilhac) rappelant que l’avant/après - si à la mode dans l’immobilier - veut vraiment dire quelque chose à TOULOUSE :
Des distributeurs de billets poétiques en hommage au plus célèbre - et éternel - troubadour toulousain (rue Alsace-Loraine) :
Des passages secrets à l’éclairage seulement zénithal, voire même souterrains… mais débouchant toujours (
!) sur la lumière :
Des caves moyenâgeuses,
quasi clandestines… mais néanmoins un brin aménagées (
Domicilium chasseur immobilier peut tout chercher du moment que le projet est viable ; viabilité et conseils objets de toutes nos attentions lorsque nous rencontrons nos clients) pour y déguster du vin comme ici, au cœur du prisé quartier des Carmes, rue des Filatiers :
Des nettoyages de printemps (ou d’automne) pour que l'eau verte du Canal du Midi (ici et ce jour là, entre les quartiers des Chalets et des Raisins, assoiffé !) demeure verte... mais propre :
Des ciels roses dans la ville éponyme :
… ou dans certains quartiers (Papus ici, le secteur Lardenne en grande partie) des avions qui fendent l’azur et/ou le décore un peu partout (vous avez dit Airbus, Latécoère… industrie, que dis-je, fleuron de l’aéronautique…) :
Enfin, redescendons sur terre, et pour se désaltérer, refaire le monde (essayer au moins), tchapper (autre vocable connu du seul « Larousse toulousain » à apprendre pour les nouveaux arrivants… survie oblige !), c’est-à-dire manger, déguster une bonne purée-saucisse de… TOULOUSE ou quelques tapas aux accents espagnols, taper le carton (traduction : jouer à la Coinche, une Belote subtile importée de Marseille… On vous le dit, c’est le Sud ici !) ou encore célébrer des victoires du Stade Toulousain ou du TFC, notre TOULOUSE recèle de cafés bien sûr.
Mais « le seul », l’unique, le vrai étant évidemment le Café de… TOULOUSE !
Implanté à Saint-Cyprien, grande rue Saint-Nicolas (faisant angle avec la rue Viguerie et la rue Cujette), il arrive que l’équipe de Domicilium, entre deux rendez-vous, y fasse une pause (en terrasse ou dans son chaleureux intérieur typiquement toulousain), ne serait-ce que pour saluer Marie et Alain, ses si bienveillants propriétaires (sans oublier Arthur, un de leurs formidables fistons, Kano au service et quelques drolatiques et emblématiques "étoiles" de la nuit toulousaine…venant se restaurer ou débuter l'apéro) !
Depuis bientôt 30 ans... au "
Café de TOULOUSE", la convivialité est de mise, l’esprit de fête un drapeau, l’humanité un mot d’ordre.
Nous en convenons aisément de nouveau, la scientificité n’est pas l’apanage premier du présent billet… mais tel n’était donc pas son objectif !
Via cette "promenade" originale, parfois inédite, au cœur de TOULOUSE - lors de découverte de quelques logements dans le cadre habituel de notre activité de chasseur immobilier, de recherches ciblées, de rencontres professionnelles -, l’entreprise consistait plutôt à un peu de légèreté.
Décrocher ici ou là quelques sourires tout en montrant la diversité d’une Cité qui nous est chère et partager (quand bien même est-ce à la marge ici, entre les lignes) notre vécu professionnel de cette ville, sans cesse à découvrir et/ou redécouvrir, à observer attentivement dans les moindres recoins.
Car légèreté et sourires, c’est en effet ce que vous souhaite, a minima, l’équipe de Domicilium pour cette nouvelle année qui débute, synonyme surtout - nous l’espérons pour vous tous - de santé, de joies, de projets, de partages et de chaleur.
Eric MASSAT - Direction de Domicilium
Eric MASSAT - Direction de Domicilium
Docteur en Droit, Expert du marché immobilier.
Fondateur et co-gérant de Domicilium. Depuis 2007 société pionnière et leader de la chasse immobilière en Haute-Garonne et Occitanie.
Ancien Avocat au barreau de Toulouse, ancien
Enseignant et Chercheur à UT1 (Université Toulouse Capitole) et à l’IEP de Toulouse.
Depuis 1993 au centre de la vie économique, sociale et culturelle toulousaine.
Publié le lundi 01 janvier 2024